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an 1000, tout autour seulement des prairies et des bois
an 1000, tout autour seulement des prairies et des bois
Les informations historiques nous apprennent que la première colonie vers l'an 1000, sur le piton rocheux du Monte Curto, était une église avec un clocher. L'image reconstitue la façon dont la colonie aurait pu apparaître dans le contexte environnemental de l'époque, sans autres colonies.
Les informations historiques nous apprennent que la première colonie vers l'an 1000, sur le piton rocheux du Monte Curto, était une église avec un clocher. L'image reconstitue la façon dont la colonie aurait pu apparaître dans le contexte environnemental de l'époque, sans autres colonies.
(Édition Maison La Tur, reproduction non autorisée interdite, photos soumises au droit d'auteur)
(Édition Maison La Tur, reproduction non autorisée interdite, photos soumises au droit d'auteur)
Battista Truccato, le "picapere" à la recherche du trésor
Battista Truccato, le "picapere" à la recherche du trésor
Entre 1913 et 1918, année de sa mort, Battista Truccato (photo), le "picapere", a creusé un tunnel de 16 mètres de long dans la roche à la recherche d'un trésor, comme l'indique un parchemin qu'il avait trouvé. Cependant, l’entreprise titanesque, avec les moyens de l’époque, n’a pas donné les résultats escomptés.
Entre 1913 et 1918, année de sa mort, Battista Truccato (photo), le "picapere", a creusé un tunnel de 16 mètres de long dans la roche à la recherche d'un trésor, comme l'indique un parchemin qu'il avait trouvé. Cependant, l’entreprise titanesque, avec les moyens de l’époque, n’a pas donné les résultats escomptés.
Truccato avait acheté un bâtiment dans le village, la partie crénelée, en 1889. Il y avait établi son activité de "picapere", tailleur de pierre. En rénovant le bâtiment, il trouve le parchemin où une carte indique la présence d'un trésor caché sous le noyau le plus ancien qui comprend la tour. Ce tunnel, encore visible, deviendra un abri anti-aérien pour les habitants du village lors des bombardements de la Seconde Guerre mondiale.
Truccato avait acheté un bâtiment dans le village, la partie crénelée, en 1889. Il y avait établi son activité de "picapere", tailleur de pierre. En rénovant le bâtiment, il trouve le parchemin où une carte indique la présence d'un trésor caché sous le noyau le plus ancien qui comprend la tour. Ce tunnel, encore visible, deviendra un abri anti-aérien pour les habitants du village lors des bombardements de la Seconde Guerre mondiale.
L'activité "picapère" fut ensuite poursuivie par son fils jusque dans les années 1960. L'extérieur du laboratoire au niveau de la rue et l'escalier d'accès au premier étage du bâtiment sont encore pleins d'arcs et de piliers en pierre travaillés par des mains expertes.
L'activité "picapère" fut ensuite poursuivie par son fils jusque dans les années 1960. L'extérieur du laboratoire au niveau de la rue et l'escalier d'accès au premier étage du bâtiment sont encore pleins d'arcs et de piliers en pierre travaillés par des mains expertes.
(Retouche photo Maison La Tur, reproduction non autorisée interdite, photo soumise au droit d'auteur)
(Retouche photo Maison La Tur, reproduction non autorisée interdite, photo soumise au droit d'auteur)
La Sorcière (ou pas) du Château de San Mauro
La Sorcière (ou pas) du Château de San Mauro
Maria Gotto, de Rubiana, fut accusée de sorcellerie vers 1620. Enchaînée dans une cellule du château de San Mauro, elle se suicide par pendaison et son corps est brûlé en public le 4 août 1620.
Maria Gotto, de Rubiana, fut accusée de sorcellerie vers 1620. Enchaînée dans une cellule du château de San Mauro, elle se suicide par pendaison et son corps est brûlé en public le 4 août 1620.
Aucune preuve certaine contre Maria Gotto n'a été trouvée. L'accusation a été formulée par un certain "Colombino Pariggio" qui a déclaré que dans la nuit de San Giovanni il avait été témoin d'un sabbat autour du feu dans les bois de Rubiana : une réunion de sorcières en présence du diable au cours de laquelle des pratiques magiques étaient pratiquées. sorties, orgies diaboliques et rites blasphématoires. Cependant, lors de son interrogatoire, Pariggio a déclaré qu'il ne reconnaissait personne.
Aucune preuve certaine contre Maria Gotto n'a été trouvée. L'accusation a été formulée par un certain "Colombino Pariggio" qui a déclaré que dans la nuit de San Giovanni il avait été témoin d'un sabbat autour du feu dans les bois de Rubiana : une réunion de sorcières en présence du diable au cours de laquelle des pratiques magiques étaient pratiquées. sorties, orgies diaboliques et rites blasphématoires. Cependant, lors de son interrogatoire, Pariggio a déclaré qu'il ne reconnaissait personne.
Maria Gotto n'était peut-être pas une sorcière, une masca en piémontais, mais une femme émancipée, intelligente et créative. Un esprit libre, pourrait-on émettre l’hypothèse, donc considéré comme dangereux par les pouvoirs de l’époque. Ou avec un trouble mental. Peut être...
Maria Gotto n'était peut-être pas une sorcière, une masca en piémontais, mais une femme émancipée, intelligente et créative. Un esprit libre, pourrait-on émettre l’hypothèse, donc considéré comme dangereux par les pouvoirs de l’époque. Ou avec un trouble mental. Peut être...
Le fait est qu'à l'époque où l'Inquisition, le Saint-Office, persécutaient tous ceux qui ne professaient pas obéissance à l'orthodoxie catholique, tous les prétextes étaient bons pour envoyer quelqu'un au bûcher. C'était un savant ou un écrivain-philosophe et frère dominicain comme Giordano Bruno qui fut condamné et brûlé vif sur le bûcher à Rome le 17 février 1600, quelques années avant Maria Gotto.
Le fait est qu'à l'époque où l'Inquisition, le Saint-Office, persécutaient tous ceux qui ne professaient pas obéissance à l'orthodoxie catholique, tous les prétextes étaient bons pour envoyer quelqu'un au bûcher. C'était un savant ou un écrivain-philosophe et frère dominicain comme Giordano Bruno qui fut condamné et brûlé vif sur le bûcher à Rome le 17 février 1600, quelques années avant Maria Gotto.
La cellule du château de San Mauro dans laquelle Maria Gotto a été emprisonnée est encore visible. Par la suite, étant en contrebas du niveau de la cour, elle devint une cave.
La cellule du château de San Mauro dans laquelle Maria Gotto a été emprisonnée est encore visible. Par la suite, étant en contrebas du niveau de la cour, elle devint une cave.
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